J’ai finalement remplacé les carreaux de vernis autour du cadre par du gris moyen. C’est assez dépouillé et même un peu froid.
J’essaye de rationaliser la production et d’alléger le dispositif sans pour autant remettre en cause le principe de circulation qui prévaut dans les œuvres. J’ai presque fini le panneau avec le réseau lenticulaire. Il me reste la peinture du cadre.
J’ai choisi une résolution basse pour le réseau (30 lpi) qui convient pour le côté un peu désuet du coureur. De plus, je ne pense pas pouvoir atteindre avec la morsure à l’acide une finesse beaucoup plus grande. Il y a un effet secondaire plutôt sympathique : à une certaine distance et sous un certain angle, le réseau « prend la lumière » et éclaire le coureur.
Pour le troisième panneau, je cherche une qualité de glacis pour le tirage peint. J’ai fait quelques essais, mais je ne me suis pas encore décidé.
La seule chose sûre (se référer au texte d’Hergé), c’est que je vais garder la dorure partielle autour des personnages. Le panneau quatre est en route, j’ai réalisé une des figures. Je vais à Paris ce week-end suivre la formation du CRAS autour de l’Arduino dont je voudrais équiper les dispositifs dorénavant.
La figure du panneau 4 (l’accent sur le « e » d’acyanobleptique est une faute, qui disparaitra du fichier graphique, merci Gildas).